Alex BROWN - 2005 - 2012

Communiqué de presse

La Galerie Richard à New York présente pour la première fois une exposition personnelle d’Alex Brown intitulée 2005 – 2012 du 11 février au 18 mars. L’exposition porte sur des œuvres majeures de 2005 à 2012. Feature Inc. à New York expose Alex Brown depuis 1998. Il a participé à l’exposition de peinture post-numérique au Cranbrook Art Museum de Bloomfield Hills, dans le Michigan, la première exposition de musée consacrée à l’émergence de la peinture numérique.

« Avec une rigueur systématique, Alex Brown reconstitue les images par une procédure abstraite de modulation. En utilisant des photographies banales provenant de sources disparates telles que des brochures, des magazines et des sites Web, Brown sublime les images dans une structure schématique standard. Intéressé principalement par la sémantique formelle qui résulte de l’évolution des données visuelles, il choisit une image non pas pour son contenu mais pour ses qualités formelles utiles. Alors que cette procédure reflète superficiellement les méthodes de bitmapping et de filtration rendues possibles par les programmes de retouche photo, Brown, en fait produit ces transformations sans l’aide de l’ordinateur. Sa grande sensibilité est néanmoins éclairée par les technologies qui ont influencé le point de vue contemporain. (1)

Alex Brown peint avec des pinceaux et de la peinture à l’huile. Vous pouvez voir les coups de pinceau avec une qualité picturale, qui définit clairement les œuvres comme des peintures.
Frisbeetown est une grande peinture, qui ressemble à une excellente peinture abstraite composée décentrée. Il demande une grande distance pour devenir figuratif (ou vous pouvez le visualiser sur votre écran de téléphone portable).
Dans Wetland, à l’opposé, le spectateur obtient suffisamment d’informations pour visualiser une ville inondée, même si elle peut être appréciée comme une peinture abstraite.
Bateau semble être une photographie banale d’un petit bateau de pêche, sauf qu’il a transformé les pixels carrés plats en cubes optiques, créant une peinture visuellement complexe trois D.
Deux peintures se réfèrent au même sujet des fleurs, un sujet que la plupart des artistes contemporains se sentent gênés de traiter à nouveau. La manipulation de leurs images est complètement différente. Dans Ne m’oubliez pas, vous voyez un arrangement de fleurs dans l’espace. L’artiste a créé une grille diagonale uniforme de carrés comme des pixels, et les pinceaux ne sont que verticaux et horizontaux. En conséquence, le spectateur bénéficie de la qualité de la composition encore plus. Jardin représente un gros plan de fleurs roses. Les couleurs sont très subtilement divisées en de nombreuses nuances. Vous profitez d’un camée de rose diverses formes courbes entrelacées d’une manière complexe.
Les peintures d’Alex Brown sont diverses expériences de vision des images figuratives à travers le médium de la peinture.