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ANDERSON, BRADLEY, RYAN, THOMAS - The Wild West
Communiqué de presse
L’ouest sauvage
Scott Anderson, William Bradley, David Ryan, Jeremy Thomas
1er février 2017—12 mars 2017
La Galerie Richard New York réunit pour la première fois Scott Anderson, William Bradley, David Ryan et Jeremy Thomas, sous le titre « The Wild West ». Les artistes vivent au Nouveau-Mexique, en Californie et au Nevada, et partagent une forte concentration sur les couleurs vives et un processus ludique mais méticuleux qui engage diverses techniques avec un goût pour l’expérimentation constante. Exposition du 1er février au 12 mars.
Scott ANDERSON
Les peintures récentes de Scott Anderson contiennent des créatures indéterminées dans un espace tridimensionnel aplati et abstrait. Il s’inspire d’un fragment de mémoire ou d’une image vestigiale persistant dans son esprit. À partir de là, il travaille intuitivement pour creuser quelque chose de nouveau et de transformateur. Ce processus aboutit à des peintures qui rappellent l’abstraction post-moderne, la peinture mexicaine et le régionalisme américain.
William BRADLEY
L’art de William Bradley est un paradoxe de travail. Il unifie la spontanéité et l’énergie apparentes, caractéristiques de l’expressionnisme abstrait, avec des détails et une composition précis. À première vue, son travail semble instantané et sans planification minutieuse, mais un examen plus approfondi révèle une attention particulière et des détails méticuleux. Vous découvrez différentes juxtapositions de temps condensées dans ces tableaux inattendus. Il détruit délibérément le lien préconçu habituel entre le langage visuel et les processus impliqués et réinjecte la stratégie conceptuelle dans la peinture.
David RIAN
David Ryan est réputé pour ses sculptures en bas-reliefs composées de couches enchevêtrées de panneaux monochromes, formant des sculptures murales complexes en trois dimensions avec des arrangements de couleurs raffinés et inhabituels. Certaines de ses formes sont très gestuelles car il commence généralement par un simple dessin. Ryan utilise plusieurs matériaux et techniques tels que des panneaux de PVC superposés découpés au laser ou à l’eau.
Jérémy THOMAS
Jeremy Thomas unifie visuellement, techniquement et conceptuellement la dualité de l’acier soigneusement moulé par l’air. Ce processus créatif mélange des procédures planifiées et des attentes générales de mise en forme, avec une imprévisibilité globale. Pour Jeremy Thomas, « travailler dans la matière, c’est un va-et-vient entre l’artiste dit ceci, la matière dit cela ». En injectant de l’air dans de l’acier malléable chauffé à environ 2000 degrés Fahrenheit, il crée et développe un tout nouveau vocabulaire. de formes spontanées, organiques et sensuelles qui se mélangent de manière ludique dans d’autres langages abstraits en trois dimensions.
Enfin, le lien fondamental entre ces artistes est leur intérêt pour les oxymores. Leur travail fusionne des langages visuels opposés et des techniques opposées, ce qui oblige le spectateur à considérer ces juxtapositions dans le contexte de chaque œuvre. Cette nouvelle génération d’artistes rend indirectement hommage à Shirley Kaneda, la première artiste à s’être vraiment penchée sur le concept d’oxymores visuels. En réussissant à créer des œuvres d’art harmonieuses basées sur des oxymores, on peut interpréter un message politique et sociologique positif sur la durabilité du vivre ensemble en harmonie.